Les échappés de l'État islamique: 12 chrétiens irakiens en quête de liberté maintenant face à la
(Photo: Capture d'écran / Al Jazeera)
Mark Arabo, un porte-parole de la communauté chaldéenne parle à Al Jazeera en Californie du Sud, au mois de Juillet 2015.
Douze des 28 chrétiens irakiens qui ont fui la violence d'État islamique et ont été détenus à la frontière mexicaine en essayant d'entrer aux États-Unis, devront faire face à l'expulsion après avoir été détenus pendant des mois dans un centre de détention de San Diego.
Lauren Mack, US Immigration and Customs Enforcement Agent des affaires publiques, ont répondu avec une déclaration officielle à la Christian Post jeudi confirmant qu'il y avait actuellement 28 ressortissants irakiens en garde à vue à la Facilité Otay détention à San Diego. "Une de ces personnes a été accusé la semaine dernière devant un tribunal fédéral de fournir de fausses informations sur une demande d'immigration. Douze autres membres du groupe ont maintenant été ordonné le renvoi par un juge de l'immigration."
Mais Mark Arabo, porte-parole de la communauté locale chrétien chaldéen à San Diego et de la Fondation humanitaire de la minorité, est bouleversé par la décision du gouvernement américain de refuser refuge pour les chrétiens irakiens qui fuient l'Etat islamique, et a déclaré dans un communiqué de presse récent, "Ces Les chrétiens ont échappé à l'esclavage et de la mort de l'État islamique ne doit être emprisonné. Le symbole de l'Amérique est la Statue de la Liberté. Il est pas une barrière fermée. "
CP arabo dit qu'il est en contact avec 20 des 28 réfugiés chrétiens irakiens actuellement détenus au centre de détention. "Les familles des réfugiés détenus disent qu'ils ne sont pas venus pour se soustraire illégalement ou application de la loi. Au contraire, ils sont venus avec le droit paperasse et les agents d'immigration ont dit qu'ils fuyaient la persécution par l'Etat islamique en Irak et cherchaient refuge en Amérique."
Il a ajouté que chaque cas est différent et en raison des lois sur la vie privée, il était difficile d'obtenir tous les détails. "Certains ont été là pendant 4-6 mois, selon leurs familles. Nous ne savons pas quand ils vont sortir ou de leur bien-être actuel."
(Photo: Reuters / Jamal Saidi)
Réfugiés chrétiens irakiens assister à un service dans une église de Hazmiyeh, près de Beyrouth Décembre 12, 2014. irakiens chrétiens qui ont cherché refuge au Liban après que des militants islamistes déchiraient leur patrie ont dit qu'ils avaient aucune idée de quand ils seraient en mesure de revenir comme ils se sont réunis pour la prière en avant de Noël. Photo prises à 12 Décembre 2014.
La décision du gouvernement américain d'expulser ces chrétiens irakiens qui cherchent refuge contre la violence est un contraste frappant avec le fait que l'année dernière, le pays a accueilli 300 000 immigrants en provenance de pays musulmans dominante, tel que rapporté par CBN.
Arabo et d'autres militants travaillent avec l'American Civil Liberties Union et d'autres organisations des droits de l'homme pour obtenir la libération des réfugiés irakiens. «Ce sont des chrétiens qui avait pas d'autre choix. Nous avons besoin de les embrasser, pas les emprisonner. On ne va pas arrêter et nous allons les tenir responsables," a promis Arabo.
Minoritaires humanitaires études de cas Fondation inclus l'histoire de l'Irak Christian Aamer Moshi qui a servi comme interprète pour l'armée américaine pendant la guerre en Irak. Maintenant, il vit à San Diego et prie pour que ses 26 ans, cousin de Ziad Matty va bientôt être en mesure de se joindre à lui.
"Ziad ne sera pas préjudiciable à ce pays, ne sera pas un danger pour ce pays. Qu'il aille vivre avec sa famille. Il est pas trop. Il est jeune, il peut travailler, il peut payer des impôts, il peut être heureux autour sa famille, et sa famille va le sponsoriser ", a déclaré à Moshi la MHF.
La MHF dit que les groupes djihadistes islamiques ont forcé les chrétiens à se convertir à l'Islam, partir, ou mourir. "Environ un million de chrétiens ont fui l'Irak depuis l'invasion de 2003. Seulement 400 000 restent dans le pays», a conclu Arabo.
Source : christianpost
