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SOMMES-NOUS PRÊTS A L'ACCEPTER, LA VÉRITÉ APRÈS 2000 ANS : Comment le nom « Yahshua » devint le


Le prophète Jeremiah attirait déjà dans la nuit des temps l’attention sur cette pratique répandue par les prêtres, traducteurs et scribes infidèles qui consistait à retrancher le nom « Yaweh » des Écritures Saintes transmises aux générations futures. C’est donc exactement ce que l’on constate de nos jours en se référant aux diverses traductions faites desdites Écritures Saintes hébraïques en grec, puis en Latin, et enfin en l'anglais. « Comment pouvez-vous dire; nous sommes sages, Nous connaissons et appliquons la Loi de Yahweh? Voici, la plume mensongère des scribes les a falsifiées et écrit fausses! (Jeremiah 8:8)”


C'est pourquoi, de nos jours, nous avons des noms à consonance stupide comme « Jésus », qui ne font ni l’honneur ni la gloire notre Père céleste Le Très-Haut, car ils contiennent aucune signification et intention primaire. 1.2 - Comment le nom « Yahshua » devint le nom « Jésus »

Saviez-vous que si vous pourriez retourner dans le passé au temps des douze Apôtres pour vous adresser à l’Apôtre Pierre en lui demandant, « s'il vous plaît, conduisez-moi vers « Jésus Christ », l’Apôtre Pierre vous aurait regardé d’un air perplexe au visage en vous répondant à peu près ceci : « Qui, ou qu'est-ce que c’est? » Mieux, d’aucun de ses apôtres non plus et encore moins ceux qui suivirent Le Sauveur sporadiquement n’aurait été capable de prononcer correctement et avec exactitude le nom « Jésus » La vérité est que, si vous remontiez au temps jadis, l’Apôtre Pierre aurait probablement pu vous dire quelque chose comme ceci : « Venez, laissez-moi vous présenter Y'shua le Messie. »

Lorsque l’Ange Gabriel est apparu à Marie et lui a dit qu’elle allait accoucher d’un fils et que le nom de l’enfant devrait être… (Luc 1:31), le son phonétique que Marie a entendu sortir des lèvres de l’Ange Gabriel avait la consonance, s’il n’était pas exactement, « Yahushua » prononcé Yah-hoo-shoo'-ah. L’écriture de « Yahushua » en manuscrit hébraïque moderne se caractérise comme et se lit de la droite vers la gauche. Ce nom est composé des deux noms hébreux. Le premier « Yah-hu » fait partie du nom du Tout-Puissant et est communément utilisé comme préfixe ou suffixe dans des noms hébreux. Le deuxième nom « shua » est celui même du Messie et sa signification en hébreu est « délivrance » ou « sauveur ». Ainsi, le nom « Yahushua » signifie littéralement le « Sauveur de Yah ». Il a été abrégé, comme il en est usuellement la pratique des hébreux pour usage quotidien, tout comme le nom « Barbara » est habituellement raccourci par « Barb » voir le nom parabole, en réduisant les quatre syllabes du nom « Yahushua » à trois syllabes, « Yahshua ». Et toujours encore pour usage quotidien, il fut même encore raccourci pour être orthographié « Y'shua ».

A l’époque contemporaine, pour rendre le nom « Y'shua » plus convivial à l’humanité, des messianiques ont remplacé l'apostrophe par la lettre « e » étant la voyelle de la langue anglaise la moindre prononcée, en lui donnant désormais l’orthographe « Yeshua ». Cette version du nom du Messie est celle que j’ai utilisée pendant un certain temps. Mais parce que la voyelle « e » est presque toujours plus articulée, sonnant comme si l’on commençait à prononcer le mot « yes » et de surcroit la fausse accentuation sur la deuxième syllabe furent les raisons qui m’emmenèrent à décider d’utiliser que le nom correct du Messie qui est « Yahshua ». L’accent doit rester sur le nom du Tout-Puissant, c’est à dire sur la première syllabe.


Le processus de traduction....de l’hébreu en grec

Depuis la nuit des temps lorsque la rédaction des évangiles était en cours en même temps que l'histoire de « Yahshua le Messie » se répandait dans les nations païennes, surtout en Europe, ladite histoire fut traduite en grec. Il y a deux façons de surmonter la barrière linguistique en traduisant les noms hébreux dans une autre parce qu’ils comportent toujours une signification. Une façon de procéder consiste à traduire purement et simplement le nom proprement dit, en s’axant que sur la signification dudit nom. L'autre méthode qui est la plus courante est appelée la translittération qui consiste à reproduire les sons d’un nom d'un bout à l’autre. Si les traducteurs de l’histoire de l’Évangile avaient procédé ainsi depuis le début jusqu’au temps moderne, alors le nom de « Yahshua » nous aurait était possible de le connaitre aujourd'hui comme étant le "Sauveur de Yah" parce que c'est bien ça ce que signifie son nom authentique.


En ce qui concerne le nom « Y'shua », le monde parlant grec a fait de son mieux pour le translittérer. Habituellement, cela consiste à une procédure relativement simple d’une permutation phonétique des sons constitués par les lettres pour en finir à reproduire les sons originaux identiquement à ceux prononcés dans la langue réceptrice. Généralement, il ne pose pas de problème. Mais dans le cas du nom « Y'shua », il y a eu quatre obstacles à surmonter pour y parvenir à une translittération fidèle en grec :

  1. Les deux premiers provenaient du fait que l'ancienne langue grecque ne contenaient pas deux des sons trouvés dans « Y'shua ». Cela pourrait paraître très surprenant au monde contemporain, mais c’est un fait que l'ancienne langue grecque ne contenait pas le lettre « y » comme dans « yes » et non plus le son « sh » comme dans « show ». La meilleure façon de reproduire « y » fut de composer les deux lettres grecques Iota et Eta pour obtenir un son comme « ee-ay ». Quant au son « sh » il fallait faire usage de la lettre « Sigma » pour obtenir le son « s ». Avec ces deux modifications, « Y'shua », prononcé naturellement par un Grec devient « ee-ay-soo-ah ».

  2. Le troisième obstacle de la translittération du nom « Y'shua » était le fait que traditionnellement les noms masculins grecs ne se terminent jamais par un son vocalique. Et si cela en était le cas, comme ce fut le nom du Messie, alors généralement la lettre Sigma ou « s » est ajoutée comme suffixe. Cette tradition doit son explication probablement dans le fait que le nom du dieu grec « Zeus » se termine par Sigma et s’est répercutée sur les noms bibliques familiers, ce qui explique le fait que Juda devint Judas, Cephah (qui signifie « rocher ») devint Céphas, Apollo est devenu Apollos, Barnabie devint Barnabas, Matthew est devenu Matthias et ainsi de suite. Ainsi, « ee-ay-soo-ah » nécessairement devait devenir « ee-ay-soo-ah-s ».

  3. Le quatrième et dernier obstacle fut que les deux voyelles avant le « s » ne sont pas usuelles sinon ne se rencontrent pratiquement jamais en grec. Par conséquent, le dernier son de la voyelle fut retranché parce qu'il se retrouvait dans d'autres noms. Toutes ces difficultés surmontées d’une manière ou d’une autre conduisirent à orthographier le nom « Y’shua » comme « ee-ay-soos ».

Hormis la tradition qui a consisté à donner un son masculin au nom, voir le 3ème obstacle, ce fut la translittération la plus fidèle que la langue grecque puisse reproduire pour le nom « Y'shua ». Mais il faut souligner que déjà, rien qu’à ce stade, le nom « Y'shua » avait perdu toute sa signification originale et, pire, 75% de son phonétique. Le dernier vestige du son « Y’shua » restait encore dans le son « oo » (comme dans « soon »). Ainsi, Yahshua était connu aux grecs sous le nom de « ee-ay-soos » depuis près de 400 ans.


Dans le manuscrit grec, le nom « ee-ay-soos » s’écrit et comme en anglais, est lu de la gauche vers la droite.

Nous n’en sommes pas encore à la fin de cette tragédie ou du film, hélas!

Il y’a une grande divergence entre les différentes écoles de pensée en ce qui concerne la vraie prononciation du nom du Tout-Puissant écrit. Les uns pensent que c’est « Yahu-eh », les autres au contraire suggèrent « Jehovah ». Par conséquent, comme répercussion sur le nom du Messie, il y’a de nombreuses idées différentes sur l’authenticité du nom intégral du Sauveur. Les uns utilisent le (J) et le (O) de « Jehovah » pour en arriver au nom « Joshua ». Les autres s’en rendant compte que la lettre (J) n’existe pas dans l’alphabet hébraïque le remplacent par la lettre (Y) pour en finir avec le nom « Yeho-shua » et la liste des imaginations est illimitée et longue. Les différences sont multiples et l’on pourrait étaler les discussions relatives des avantages et des inconvénients de chaque théorie sur des pages plus nombreuses que celles que contiendrait une dissertation. Ce qui convient de souligner ici, est que, qu’importe ce que fusse le nom intégral de notre sauveur, celui-ci fut abrégé par « Y'shua ». En plus, il n'y a simplement aucune façon possible qu’une quelconque autre chose plus longue que « Y'shua » aurait pu devenir « ee-ay-soos ». Il y aurait eu trop de syllabes et de sons qui auraient du être retranchés pour donner ce qui nous est connu de nos jours. Mais avec « ee-ay-soos » on peut voir clairement pourquoi et comment on en est arrivé là en tenant compte de chaque son et syllabe […]

Continuant le processus de traduction.... grec en latin


Vers 400 après Yahshua la langue latine est devenue la langue prédominante du christianisme et les versions grecques du Nouveau Testament ont été traduites en latin. La Bible latine ou Vulgate, comme elle s'appelle, l’a également translittéré en utilisant ce qu'il en restait du nom de « Yahshua » de sa version et de son orthographe grecque, c'est-à-dire, en ne reproduisant que les mêmes sons de « ee-ay-soos ». Cette translittération fut plus facile parce que tous les sons grecs de cette version tripatouillée du nom du Messie se retrouvent dans l’alphabet latin. Certes, les lettres de l'alphabet latin sont différentes de celles du grec, mais pratiquement identiques à celles de l'anglais. Cette nouvelle translittération de « ee-ay-soos » devint

et était identique à la prononciation grecque de ladite version grecque. C’est donc cette version latine et sa prononciation qui s’est propagée et dominée dans le monde chrétien pendant presqu’un millénaire.


La traduction finale.... Latin en anglais

Entre-temps, la langue anglaise était encore en pleine évolution. Avant le 12ème siècle, la lettre (J) n'existait pas encore dans l’ancienne langue anglaise. Le son rendu par la lettre (J) n'a d’ailleurs jamais existé ni en hébreu ni en araméen ni en grec ni non plus en aucune langue latine. C'est donc pour cette raison qu’aucune personne contemporaine à « Yahshua » aurait été capable de prononcer correctement et exactement le nom anglais « Jésus » fruit d’un tripatouillage sans nom, laquelle attitude ne peut être qualifiée autre que du pur satanisme, légué à l’humanité entière à l’exception de ceux qui en prennent maintenant conscience.

Ce n’est donc que tout au long du début du 12ème siècle que la lettre (J) fit son apparition dans quelques obscurs dialectes anglais. Ce ne fut que 500 ans plus tard que l’engouement pour le nouveau son du (J) commença à être utilisé pour en remplacement des sons prononcés par les lettres comme (I) et (Y) dans la langue anglaise. Ceci étant particulièrement vrai pour les noms masculins qui commençaient par (I) ou (Y) parce que le son dur, une fois de plus comme les grecs, devrait être considéré comme plus masculin. Ainsi, les noms tels que « Iames », « Yohan » sont devenus « James » et « John » respectivement, et ainsi de suite. Durant cette période, en 1384 John Wycliffe traduisit le Nouveau Testament en anglais pour la première fois et sa seule source était la Vulgate ou la Bible latine. Quant à Wycliffe, il a continué à utiliser l'orthographe latine et la prononciation de « Iesus ». L’imprimerie n'ayant pas encore été inventée jusque là, fut la raison pour laquelle une reproduction massive n’ait pas eu lieu et l’on se contenta seulement de quelques copies dudit manuscrit de la Bible de Wycliffe. En 1450, Gutenberg inventa l'imprimerie. En 1526 William Tyndale traduisit lui aussi à son tour le Nouveau Testament en anglais en se basant sur la Vulgate et des aides supplémentaires, en l’occurrence de quelques anciens manuscrits grecs. Mais il faut souligner que sa traduction était faite dans une langue des gens du commun et de nombreux exemplaires furent imprimés grâce à l’imprimerie. Tyndale fut donc le premier à utiliser la lettre (J) dans l'orthographe du nom. Cette nouvelle orthographe, d’ores et déjà, tombée entre les mains de nombreux marginaux alphabètes roturiers anglais, fut bientôt prononcée par le grand public comme « Jee-zuz ». Au 17ème siècle, la lettre (J) fut officiellement introduite dans l’anglais royal puis en 1611 dans la plus célèbre traduction anglaise de tous les temps, la Bible du roi James (King James Bible), qui fut imprimée en quantité industrielle, incluant des aides à la prononciation phonétique de tous les noms propres y compris celui de « Jésus » dans un orthographe actuelle connue au monde contemporain. Ainsi, tout nom dans la Bible commençant par la lettre (J) nous fut légué de cette même façon. Les noms tels que « Jeremiah », « Jérusalem », « Juda », « John » et « juif » ne sont là que quelques exemples. Ces noms propres et noms communs de lieux comme orthographiés ci-dessus n’ont en aucun moment existé dans l'histoire des personnes (les enfants d’Israël) qui n’ont absolument aucune connaissance, ne fusse qu’élémentaire, du son de la lettre (J) dans leur langue! Ceci devrait être vrai et valable de nos jours sauf que ces descendants Turcs, les Juifs Européens se faisant passer pour le peuple élu ne sont en réalité que des « purs » imposteurs qui ne parlent que l’hébreu germanisé, pouvant être tout, sauf la vraie langue hébraïque.

En adoptant cette nouvelle prononciation officielle anglaise du nom « Jee-zuz », le dernier son phonétique, c'est-à-dire, le « oo » comme dans son « soon » dans le nom « Yahshua », encore existant dans sa version grecque, a du lui-aussi à son tour s’envoler comme une balle emportée par le vent. Plus rien donc ne reste de l’original qui puisse être reconnaissable soit par travers le son soit par travers le sens du nom « Yahshua ». Il convient également de souligner que le mot "Christ" n'est pas un nom mais plutôt un titre. Il est foncièrement la traduction grecque du titre « Messie » et signifie le « oint » de Yah. Ainsi, tout ce qu'il reste du doux et suave son de « Yahshua le Messie » est une série phonétique de sons durs dans "Jee-zuz Chr-i-st", incontestablement habillé d’un manteau lui prêtant les abus dont il en résulte et subi.

En un moment donné, j’ai même pensé que le nom « Jésus Christ » serait couramment utilisé pour la malédiction parce qu’il est le plus détesté de tous les noms sur terre par les malfaisants et leur cohorte de païens. Mais dans toutes mes recherches, j'ai été incapable de trouver une autre langue dans laquelle il serait similaire à la malédiction. Cependant, une chose est certaine, aucune autre langue n’a rendu le nom du Sauveur phonétiquement plus acerbe comme l’a fait l’anglais. Une exception serait la quasi identique façon de prononcer « Christ » en français et il est intéressant de noter qu’il est aussi singulièrement utilisé pour des effets maléfiques! Considérant le fait incontestable que pendant presque quinze siècles, soit 1500 ans, après son administration sur terre, l’on ne l’avait jamais connu ni sous ce nom « Jésus » ni même l’avoir entendu, je ne peux conclure en disant que la version anglaise du nom du Messie est, entre autres, particulièrement abusif rien qu’en raison des âpres sons phonétiques qu’elle lui confère. Sachez aussi que le nom « Jésus » n'existe que seulement depuis quelques centaines d'années probablement que sur cette planète terre car j’en doute fort bien qu’il soit connu dans les cieux ou ailleurs. Cliquez ici pour lire d’autres contributions sur le nom vide "Jésus"


1.3 - Seigneur, Dieu vs. Yahweh Dans le souci d’attirer l’attention des croyants sur d’autres faits relatifs, il est notable de souligner ici aussi que, tout au long de nos recherches nous avons découvert diverses sources traitant l’authenticité des noms ou titres « seigneur » et « Dieu ». Toutes ces études sont concordantes sur un fait qui est que « Ces noms ou titres divulgués sont des mauvaises traductions et inappropriées pour le Messie ou le Tout-Puissant. » Une des raisons est que jamais, au plus grand jamais le Tout-puissant se soit révélé lui-même, ne serait-ce qu’à un seul de ses serviteurs, sous le nom de « Dieu » dont le sens en lui-même, tel que définit, même dans les dictionnaires bibliques : « quelque chose qui est vénérée, idéalisée ou suivie », est péjoratif. Péjoratif en ce sens que les puritains n’admettent pas que l’on parle du Créateur de ce grand univers en ayant l’audace de vouloir le désigner comme une « quelque chose » ou le confondre aux idoles qui sont rien d’autres de plus que ses propres œuvres. Car une pareille définition comme ci-dessus n’exclut pas que même l'image d'un être surnaturel ou une idole peut et est foncièrement aussi un « dieu ». Dans l’écrit, la lettre « D » majuscule ou « d » minuscule sont utilisées pour distinguer le Tout-puissant de ces autres les idoles, respectivement. N’empêche pas qu’il ne soit pas possible de les distinguer dans la lecture ou en prononciation et c’est ça là où ce nom se glisse sur la pente du mal surtout en prière puisque ne sachant pas quel « Dieu » ou « dieu » l’on prie. Pire pour l’humanité serait que si le Tout-puissant que les humains croiraient adorer, ne réagisse pas à ce nom « Dieu » ou « dieu ». Cela est plus édifiant et pour s’en rendre compte, il faut approfondir ses propres recherches en remontant aux écritures saintes, prières, chants, louanges, psaumes originaux traduits dans les autres langues pour s’en apercevoir que ce nom « Dieu » fait l’objet uniquement des traducteurs des Évangiles car il n’apparait nulle part parmi ses différentes appellations comme « Yahweh », « Elohim », « Shaddaï », « Éternel »… ceux-ci utilisés dans les divers récits et donc connus des enfants d'Israël. En effet, l'usage des noms ou titres comme « dieu », « seigneur », etc. est une pure transmission des vestiges du passé des sociétés ecclésiastiques, nobles et féodales occidentales au même titre qu’étaient et sont « sir », « roi » et autres.

En dépit des faits palpables ci-dessus exposés, il existe néanmoins la réflexion suivante: « Pourquoi est-ce que les esprits sataniques et malfaisants craignent-ils le nom « Jésus Christ » s’il s’avère que son véritable nom est Yahshua? » Les argumentations contre ce raisonnement ne font pas défaut mais nous ne voulons pas concéder au développement d’une telle présomption dans cet article parce que son dépouillement s’étendra au long des pages entières puisqu’il s’agit là plutôt de la foi sinon d’une appréhension donc rien de plus que d’impression d’individus bien ou mal intentionnés et non des faits manifestes.



Traduction : AI

 








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