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FRANCE : Ne me dites plus que la France va devenir musulmane, la France est déjà musulmane


Edition : Article publié le 05.07.2016



Par le Politologue, blogueur Michel Garroté


Primo, on a aménagé une salle de sport à la prison de Fleury-Merogis tout spécialement réservée à l’assassin terroriste Salah Abdeslam. Secundo, la rupture du jeûne musulman a été célébrée dans l'église catholique Saint Jean de Cachan. Tertio, un curé propose à ses fidèles de fêter la fin du ramadan dans une mosquée particulièrement islamiste. Ne me dites plus que la France va devenir musulmane. La France est déjà musulmane. Elle a pris se virage dans les années 1990. Elle a gardé, depuis, ce mauvais cap. Ce qui se passe aujourd'hui n'est que le prolongement de ce qui a été mis en place il y a vingt ans. C'est aussi le prolongement des accords conclus dès les années 1970 par les pays européens avec des organisations arabes (la Ligue Arabe), puis islamiques (l'Organisation de la Coopération Islamique). La France de 2016 ressemble au Liban de 1975 : un pays au bord de la guerre civile. Pour mémoire, la guerre du Liban a duré de 1975 à 1990. Bonne chance la France ! Le blogueur catholique Bernard Antony réagit aux conditions de détention luxueuses du terroriste Salah Abdeslam (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Avec raison le député des Hauts-de-Seine Thierry Solère a demandé au Garde des Sceaux pourquoi on a aménagé une salle de sport à la prison de Fleury-Merogis tout spécialement réservée à l’assassin terroriste Salah Abdeslam. On croit rêver. En effet, c’est un acquis de la civilisation que de ne pas infliger de mauvais traitements à un prisonnier, fût-il comme celui-là, un abominable massacreur. Mais il est totalement insensé, irresponsable et criminogène que de se préoccuper autant de la bonne forme d’un terroriste. Bernard Antony : Cela n’a pour effet que d’amplifier encore l’admiration que toute une faune de plus en plus nombreuse de flambeurs islamo-gauchistes et terroristes en puissance, sinon en actes, porte pour de pareils héros experts en carnages. Et de dire : « Tu vois, même en prison, on les respecte, ils sont les caïds ». Le ministère de la justice fait ainsi un très sale travail. Bernard Antony : Dans le même registre ubuesque d’exception-discrimination pour tout ce qui a trait à l’islam, voici que le ministère qui ose encore s’intituler de l’Éducation Nationale a demandé aux proviseurs des lycées des académies de Paris, Versailles et Créteil d’anticiper l’absence d’élèves qui pourraient manquer aux épreuves du baccalauréat en raison de la fête de l’Aïd-el-Fitr pour qu’ils puissent être reconvoqués pour le lendemain. Comme si pour cette fête de la rupture du jeûne du ramadan (appelée chez les Turcs « fête du sucre ») les candidats ne pouvaient pas attendre un peu la fin des épreuves avant de s’empiffrer de sucreries. Ils n’en ont pourtant pas été privés tout au long des repas hyperglycémiques de rupture quotidienne du jeûne. Seulement voilà, les autorités laïques de l’Éducation à la mode de dame Najat Vallaud-Belkacem ne veulent même pas prendre le risque de courroucer quelque islamique gamin gourmand grande gueule, conclut Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). Une courageuse réaction du père Michel Viot : La rupture du jeûne musulman dans l'église catholique Saint Jean de Cachan est un sacrilège et elle provoque cette excellente réaction du père Michel Viot (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : C’est de la rupture du jeûne du ramadan prévue le 2 juillet 2016 dans le sanctuaire qu’il est question, semblable à celle vécue à Molenbeek près de Bruxelles récemment. Comme pour les rencontres islamo-chrétiennes de la fête de l’Annonciation à Lyon, il ne s’agit pas d’une simple et anodine manifestation de rencontre inter religieuse entre catholiques et musulmans, mais de quelque chose de bien plus grave. Je ne nie pas les bonnes intentions. Mais je me demande tout de même si cette rupture de jeûne musulman dans un lieu consacré au culte catholique ne va pas engendrer des ruptures lourdes de conséquences. Dans un autre endroit qu’un lieu consacré, je n’aurais rien dit. Non point que cela fût sans reproche ! Mais la rencontre dans une salle paroissiale, par exemple, n’aurait relevé que de la maladresse pédagogique en matière de dialogue inter religieux . J’eusse donc préféré un dialogue sur le sens du jeûne, en un lieu non sacré. La « rupture » de Cachan va au-delà de la maladresse. Je crains qu’elle ne relève d’un sacrilège enfantant trois ruptures. Rupture pour les musulmans comme pour les chrétiens par rapport à leurs propres traditions : il me semble qu’un musulman ne peut, de par sa religion, entrer dans un lieu de culte qui n’est pas musulman. La sourate 6,68 du Coran dit : « Quand tu vois ceux qui pataugent dans des discussions à propos de nos versets [les chrétiens et leurs discours religieux] éloigne toi d’eux jusqu’à ce qu’ils entament une autre discussion » particulièrement une église (ce qui est interprété comme interdiction de participer à une cérémonie chrétienne). S’ils y entrent néanmoins, c’est alors pour le désapprouver dans le secret de leurs cœurs, comme le stipule cette parole de leur prophète, tenue pour authentique (rapportée par Muslim) : « Que celui d’entre vous qui voit un mal le change par sa main. S’il ne le peut pas, qu’il le dénonce verbalement. S’il ne le peut pas, qu’il le désapprouve dans son cœur ». Pour les catholiques, leur église consacrée dans les formes liturgiques précises par l’évêque, doit les empêcher d’y tolérer autre chose que le culte catholique. Ce qui devrait inciter à la prudence pour les activités non cultuelles. Rupture de l’unité catholique : comme prêtre appelé à voyager de par mes fonctions, je me dois de dire que ce type de rassemblement inter religieux trouble de plus en plus les fidèles, toutes catégories confondues. Les gens se taisent le plus souvent mais sont exaspérés .Ils ont peur d’être montrés du doigt comme islamophobes; et le fait que la Mairie de Paris ait donné l’exemple en fêtant le ramadan ne les rassure pas du tout, bien au contraire. Ils deviennent ensuite facilement irritables devant toute rencontre inter religieuse, allant même jusqu’à critiquer notre Saint Père pour avoir reçu l’imam d’al-Azhar. Et je remarque, non sans tristesse que nos islamo-enthousiastes se sont bien gardés d’expliquer le sens exact de cette rencontre. Bref, cette exaspération, quand elle se manifestera, comme dans d’autres domaines en France, provoquera un enchaînement de ruptures dont nul ne peut prédire le résultat final. Mais on voit bien ce qui l’aura initié. Rupture de charité enfin. Et c’est la pire, parce qu’elle se fait aux dépens de l’accueil de nos frères chrétiens, qu’ils soient des convertis venus de l’islam, souvent en butte à la persécution de leurs anciens coreligionnaires, ou nos frères d’Orient, persécutés aussi au nom de l’islam. Beaucoup de ces derniers ont tout perdu avec la venue des radicaux, perdu jusqu’à la possibilité d’une coexistence pacifique avec leurs voisins musulmans et donc l’espoir d’un retour lorsque ceux-ci, pourtant si paisibles, ont prêté la main à la persécution islamiste. Il ne faut donc pas s’y tromper. Même si pour certains musulmans de France, aujourd’hui paisibles, la cérémonie de Cachan apparaît comme un signe de Fraternité, pour beaucoup à l’extérieur, comme aussi hélas à l’intérieur, c’est une preuve de faiblesse: une fête musulmane est célébrée dans un sanctuaire chrétien, le Coran y est lu avec les prières qui vont avec, des imams y prennent la parole, le christianisme s’ouvre au message de l’islam. Alors faut-il couvrir le silence complice de nos politiques par les chants islamo-chrétiens de semblables fêtes ? Ne vont-ils pas sonner aux oreilles de nos frères qui souffrent, comme jadis les orgues hydrauliques des cirques romains quand les bêtes dévoraient les martyrs ? Puissent les chrétiens islamo compatibles, qui pensent faire œuvre utile en transformant leurs églises en maisons de tolérance religieuse, regarder en face l’engrenage de la rupture, conlut le père Michel Viot (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). La cerise sur le gâteau : Et cerise sur le gâteau, un curé propose à ses fidèles de fêter la fin du ramadan dans une mosquée islamiste (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). L'information est notamment relayée par la revue de presse 'Le Salon Beige'. Les catholiques de Mérignac sont appelés à se rendre, le mercredi 6 juillet 2016, à la mosquée Essalam de Mérignac pour « fêter la fin du ramadan ». Le site internet de la paroisse précise même que « la prière aura lieu à 9h sur le parking de la mosquée si la météo le permet inch Allah » ! Le curé Vincent Garros multiplie ce type de rendez-vous avec l’association des musulmans de Mérignac. Ainsi en janvier 2016, les paroissiens de Saint Vincent ont accueilli l’Imam Hassan Belmajdoub et les membres de la Communauté Musulmane de la Mosquée de Mérignac au sein de l'église paroissial où un "appel à la prière et sourate à Marie" ont été prononcés. Le plus grave est que cette association s'est faite remarquer par des fréquentations islamistes : "L’association des musulmans de Mérignac est loin d’être dans la modération que souhaitent les élus de la ville. Il suffit pour cela de voir la liste des conférenciers que l’association invite régulièrement pour dispenser la bonne parole islamique : Rachid Haddach : Célèbre imam belge fondamentaliste que la famille Merah venait écouter lors de ses conférences à Toulouse. Rachid Abou Houdeyfa : Imam de Brest, il s’est fait récemment remarquer lors d’une conférence sur la musique où il déclarait que « ceux qui écoutent la musique seront transformés par Allah en singe ou en porc. Nassima Prudor : Cette algérienne faisait partie des prédicateurs intégristes au fameux « salon de la femme musulmane à Pontoise ». Nader Abou Anas : Ce prêcheur salafiste est l’un des plus controversés en France. Sa vision des femmes (il justifie le viol conjugal) et du paradis est tellement incroyable que nous avons préféré mettre directement une de ses interventions. Abdel Fattah Rahhaoui : Décrit comme proche des salafistes, cet imam toulousain donnait des cours de religion à Souad Merah, soeur de Mohamed Merah, qui serait actuellement en Syrie aux cotés de l’Etat islamique. De nombreux autres prédicateurs radicaux sont venus dans les murs de cette mosquée, mais nous ne pouvons pas tous les citer. Citons tout de même Tariq Ramadan (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté http://www.lagrif.fr/index.php?option=com_k2&view=item&id=562:la-terreur-d-etre-accuses-d-islamophobie-rend-fous-nos-dirigeants https://michelviot.wordpress.com/2016/07/02/rupture-jeune-cachan/#more-512 http://www.infos-bordeaux.fr/2016/breves/les-catholiques-de-merignac-appellent-a-feter-la-fin-du-ramadan-8134 http://cathomerignac.fr/actualites-1/mercredi-6-juillet-jour-de-aid-el-fitr-2016-1437-h





 

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